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17 MIN READ

LÉONARD DE VINCI

Pour commémorer le 500e anniversaire de la disparition du génie Léonard de Vinci, le musée du Louvre a vu les choses en grand en nous présentant sept des vingt tableaux connus du peintre accompagnés d’une kyrielle de dessins, d’œuvres de son entourage pour une présentation plus réservée à un public averti qu’au grand public. Mais pouvait-il en être autrement ?

Posté le 10 décembre 2019
Exposition à visiter jusqu’au 24 février 2020

Vue de l’ exposition Léonard de Vinci. Sur le mur du fond : La Cène, copie très fidèle faite du vivant de Léonard de Vinci par son élève Marco d’Oggiono entre 1506 et 1509 © Musée du Louvre/ Ph.: Antoine Mongodin

Léonard de Vinci, Études de mains , vers 1485-1492 © Windsor Castle, The Royal Collection, Royal Library / Her Majesty Queen Elizabeth II 2019

Léonard de Vinci, Portrait de jeune homme tenant une partition , dit Le Musicien , vers 1483-1490 © Veneranda Biblioteca Ambrosiana.

Léonard de Vinci, Sainte Anne, la Vierge et l’Enfant Jésus jouant avec un agneau , dite La Sainte Anne , vers 1503-1519 © RMN-Grand Palais (musée du Louvre) / René-Gabriel Ojéda.

Léonard de Vinci. L'Homme de Vitruve, vers 1489-1490 © Venise, Gallerie dell'Accademia / Ph.: D.R.

Léonard de Vinci. La Madone au dévidoir, vers 1501-1510 © Coll. part. / Ph.: D.R.

Léonard de Vinci. Salvator Mundi (version Ganay) vers 1505-1515 © Coll. part., ancienne collection du Marquis de Ganay / Ph.: D.R.

Que n’a-t-on pas dit, disséqué, analysé, étudié ou écrit sur cette exposition du Louvre commémorant les cinq siècles de la disparition de Léonard de Vinci (1452-1519) mort au Clos Lucé près d’Amboise où le génial peintre, inventeur, écrivain, architecte, astrologue, poète, metteur en scène et même musicien s’était installé sur l’invitation de François Ier trois ans avant de mourir ? D’un peintre de la Renaissance comme il y en a eu d’autres, certes un génie dans son art, son aura a dépassé la simple sphère artistique pour devenir une sorte d’icône qui s’élève aujourd’hui au-dessous de tout ce qui pourrait lui être comparé. Pourquoi ? Pourquoi en 2011 à la National Gallery de Londres pour la dernière exposition en date consacré au florentin, des visiteurs potentiels avaient-ils campés de nuit devant le musée pour être certains de rentrer ? Et devant cet engouement les organisateurs avaient même organisé, dans 150 salles de cinéma, une projection d’une visite filmée de l’exposition qui fut très courue !

Notre siècle se cherche-t-il des idoles dans le passé, las de celles absentes de nos sociétés ? Ou simplement le « buzz » provoqué travaille aussi à faire de quelques personnages des idoles à venir admirer ? Et notre génial Léonard est lui, de plus, accroché à une œuvre, La Joconde, certes le tableau le plus connu au monde qui fit tant pour sa renommée.
Seul sur cette scène des artistes du passé, peut rivaliser Vermeer dont l’exposition ici en février 2017 avait été un énorme événement, très couru, réunissant douze œuvres du maître de Delf, soit un tiers de l’œuvre connu. Et si aujourd’hui nous apportons ici notre pierre à l’édifice médiatique qui a entouré et entoure encore cet événement ce n’est pas seulement pour mettre nos pas dans ceux de nos confrères, mais tenter aussi d’apporter quelques précisions concernant cette exposition.
Il a été dit par certains (dont notre excellant confrères Didier Rikner de La Tribune de l’art) que l’accueil du public n’était pas à la hauteur d’un tel événement. Le Louvre ayant mis en place un système qui apparemment n’est pas satisfaisant. Mais pouvait-on faire autrement ? Certes non, ce système évite les longues queues, les déceptions et les bousculades. Ayant, comme nos confrères, pu voir l’exposition dans un certain confort, nous y sommes, par curiosité, retourné pour voir en conditions réelles comment cet accueil du public tant décrié se passait.
Malgré que l’on nous rebat les oreilles que nous ne serions pas un peuple civilisé et courtois, force nous est de constater que tout semblait bien se passer. Il est vrai que le public pour une telle manifestation est plutôt fait de gens épris de culture et heureux de faire un bout de queue sachant qu’à l’arrivée les salles présentant ce que l’on nous annonçait comme l’expo de ce siècle tout juste commençant, sont certes envahies mais

Léonard de Vinci, Portrait d’une dame de la cour de Milan, dit, à tort, La Belle Ferronnière , vers 1490-1497 © RMN-Grand Palais (musée du Louvre) / Michel Urtado.

ce n’est pas la cohue, loin s’en faut, des magasins lors de ce stupide « black Friday » qui se passait au même moment.

Le dessin à l’honneur

En revanche, là où le bât blesse c’est que de nombreuses vitrines comme beaucoup des œuvres accrochées – la plupart des dessins de petites tailles – agglomèrent de nombreux visiteurs qui font des mains et des coudes pour apercevoir les œuvres. Idem pour les vitrines montrant les carnets remplis d’esquisses et de la fine écriture – à l’envers – de Léonard, où l’on se presse pour tenter d’apercevoir la patte du génie. Et que dire de cet Homme de Vitruve qui, telle la Joconde à quelques salles de là, agglomère un essaim de visiteurs qui, comme devant Mona Lisa, tente à coups de smartphones de pouvoir dire ensuite : « J’y étais ! »
L’exposition qui nous fut souvent, d’une façon lapidaire, présentée comme réunissant 170 chefs d’œuvre du génie florentin mérite que l’on remette les choses dans leur juste contexte. Déjà, il faut savoir qu’il n’est connu de sa main moins d’une vingtaine de tableaux dont certains inachevés… ce que l’on peut comprendre quand on sait qu’il mit plus de dix ans pour peindre son chef d’œuvre qu’est La Vierge à l’enfant avec Ste Anne ! Sur cette petite vingtaine de tableaux, cinq sont au Louvre et les autres sont réparties entre l‘Italie (huit), Angleterre, Russie et Etats-Unis (deux chacun) et enfin Allemagne, Pologne (un chacun). À ce décompte il faut ajouter les œuvres contestées, comme le fameux Salvatore Mundi dont la vente à plus de 450 millions de dollars fit grand bruit à cause des doutes l’entachant. Nous présenter ici sept tableaux du maître,  soit plus d’un tiers de son œuvre connu, est déjà un exploit !

Léonard de Vinci, Études pour la tête de Léda , vers 1505-1506 © Windsor Castle, The Royal Collection / Her Majesty Queen Elizabeth II, 2019.

En revanche on lui connaît un grand nombre de dessins (le Louvre en conserve 22), études préparatoires, dessins d’architecture, de machines, de calculs et autres tracés géométriques ainsi que quelques ouvrages et carnets. Exploit aussi quand on sait que les musées de par le monde sont en général frileux pour prêter de telles œuvres, frileux parce que cela retire de leurs cimaises des « produits d’appels » importants, frileux de peur d’un accident arrive en cours de route malgré toutes les précautions prises et enfin, on imagine le montant astronomique des primes pour assurer de telles œuvres.

Des manques flagrants

Ici, après une vaine polémique avec les Italiens du gouvernement Salvini quant à savoir si l’Italie allait nous prêter ses Vinci (ce qu’un changement de gouvernement à Rome rendit quelques prêts possibles), la plupart des musées sollicités ont répondus présents comme la Royal Collection de la reine Elisabeth II, le British Museum, la National Gallery de Londres, la Pinacothèque vaticane, la Bibliothèque Ambrosienne de Milan, la Galleria Nazionale de Parme, le musée de l’Ermitage de Saint- Pétersbourg, les Gallerie dell’Accademia de Venise, le Metropolitan Museum de New York et l’Institut de France … Seule la Galerie des Offices de Florence n’y est pas allée de sa contribution alors qu’elle conserve trois tableaux d’importance dont Le Baptême du Christ, une magnifique

Annonciation et aussi un paysage de la vallée de l’Arno considéré comme le premier dessin connu du jeune Léonard !
Cette grande institution italienne s’est simplement fendue d’un prêt sans grande importance, de l’atelier et non de la main du maître, une copie d’une œuvre de Leonard de Vinci sur le thème mythologique de Léda, et de quelques réflectographies des œuvres qu’elle conserve. Saurons-nous nous en souvenir dans le futur ?
Donc en résumé sur les 179 œuvres présentées, hormis les 7 tableaux de Léonard de Vinci et les deux de son atelier, on compte 45 œuvres d’autres artistes, 17 réflectographies d’œuvres (permettant de voir par radio la construction des sous couches des œuvres), le reste étant constitué de carnets, dessins, études, quelques statues et autres écrits.

L’art du sfumato

Une bio express du génie s’impose. Il naît le 15 avril 1452 chez sa mère, à Anchiano, un petit village à deux kilomètres de Vinci, une bourgade près de Florence, où réside son père. Il est le fruit des amours ancillaires de son père, notaire et ambassadeur de la République florentine, Messer Piero Fruosino di Antonio da Vinci et d’une paysanne locale. Le petit Léonard (Lionardo plus exactement) passe ses premières années-là, entre sa mère, son père et ses oncles. Doué pour le dessin il est placé à 14 ans dans l’atelier du peintre florentin Andrea del Verrochio qui abrite aussi Botticelli et Le Pérugin entre autres. Là, il développe son don pour le dessin, ces petites œuvres qui lui permettent d’appréhender le réel et qui sont souvent à l’origine de son travail de peintre. Il apprend aussi cet art si délicat de l’estompe cette manière de travailler les ombres et les nuances très subtiles et qui préfigure le sfumato, cette manière tout en finesse, faite de délicates couches superposées d’une peinture très diluée, qui sera sa marque et qui demande de nombreuses années pour élaborer ses œuvres. Là aussi il se frotte à l’art venu du nord, aux paysages dont il fera souvent l’arrière fond de ses œuvres.

En 1472, à l’âge de 20 ans, inscrit à la guilde de Saint Luc, il est donc reconnu officiellement comme peintre et quatre ans plus tard il ouvre son atelier soutenu par Laurent le Magnifique. Il faut savoir qu’à l’époque les artistes ne pouvaient vivre qu’en étant sous l’aile de mécènes, de riches familles ou encore de l’Église qui leur commandaient tableaux et autres peintures à fresque pour décorer qui son palais, qui son église ou son couvent.

Au service de Laurent le Magnifique

À 26 ans, bien qu’indépendant, toujours toutefois recensé comme étant de l’atelier de Verrochio, il quitte ce dernier et Florence pour Milan sous l’injonction de Laurent le Magnifique pour se mettre à la disposition du duc de Milan, Ludovic Sforza. Là, il va peindre quelques-uns

Vue de l’ exposition Léonard de Vinci. Au centre : Léda (Atelier de Léonard de Vinci). À gauche : Torse du type de l’Aphrodite de Cnide, d’après un original de Praxitèle. À droite : Aphrodite accroupie, dite Venus de Vienne (IIe siècle après J.-C.) © Musée du Louvre/ Ph.: Antoine Mongodin

de ses chefs d’œuvre comme La Dame à l’hermine (du musée Czartoryski à Cracovie en Pologne mais malheureusement absent de l’exposition) pour laquelle il casse les codes habituels en optant pour une vision de trois-quarts face du modèle plutôt que de profil avec, de plus le regard fuyant vers la droite. Citons aussi La Cène une peinture à fresque pour le réfectoire du couvent des dominicains de Santa Maria delle Grazie à Milan et évoqué dans l’exposition par une copie faite au tout début du XVIe siècle, du vivant de Vinci, par Marco d’Oggiono. Là encore, il rompt avec l’habituelle représentation de la dramaturgie du Christ qui voulait que Judas soit placé de dos, en symbole de duplicité face aux apôtres réunis. Ici Vinci le place juste à côté du Christ, la bourse de sa trahison en main rendant sa déloyauté encore plus flagrante.

L’invitation de François Ier

À la chute de Sforza en février 1499, Léonard de Vinci part pour Mantoue puis arrive à Venise en 1502, où il se met au service du condottière César Borgia avec le titre de « capitaine et ingénieur général ». Mettant son activité de peintre au second plan, il visite fortifications, canaux et autres défenses, lève des plans et dessine des armes et autres engins de guerre. À l’âge de 50 ans il rentre à Florence et en 1503, commence à peindre la Joconde. Cette œuvre maîtresse lui prendra plus de six ans. Il y travaille une première fois entre 1503 et 1506, puis reprend le tableau sept ans plus tard pour le terminer vers 1516. Tableau iconique qui serait le portrait de Florentine Lisa Gherardini, l’épouse d’un certain Francesco del Giocondo, un marchand d’étoffe florentin. C’est à la même époque que le peintre se lance dans un autre de ses chefs d’œuvre : La Vierge à l’enfant avec Ste Anne, un tableau qui lui demandera, comme La Joconde, pas moins de dix ans de travail.

Léonard de Vinci, Vierge à l’Enfant , dite Madone Benois, vers 1480-1482 © The State Hermitage Museum, St Petersburg.

Ces deux œuvres et quelques autres, dont Saint Jean Baptiste, seront de son départ pour la France en 1516, lorsque, déçu que son talent ne soit pas reconnu à sa juste valeur alors qu’il travaille à Rome pour Julien de Médicis. C’est à ce moment qu’il se rapproche de François Ier qui venait de conquérir le milanais lors de la bataille de Marignan. Il le suit lorsqu’il rentre en France et s’installe au Clos Lucé, au cœur d’Amboise, l’une des résidences du roi.
Le roi le nomme « premier peintre, ingénieur et architecte du roi » et un accord est scellé entre les deux : à la mort de Léonard de Vinci, les tableaux qu’il a emmené avec lui deviendront propriété de la couronne. Grâce à ce legs, La Joconde, la Sainte Anne, le Saint Jean Baptiste et La Belle ferronnière sont entrés quelques siècles plus tard au Louvre dont ils sont les joyaux. C’est au Clos Lucé que le génie s’éteint dans la nuit du 2 mai 1519 mais non pas dans les bras de François Ier comme le montre le tableau d’Ingres, le roi étant à Saint-Germain-en-Laye à cette date. À son retour le roi pleurera sur celui qu’il considérait, dit-on, comme son père.

Une exposition… intelligente

L’exposition du Louvre, de par le faible nombre de peintures de Léonard de Vinci, pourrait laisser sur sa faim le grand public. Il manque en fait des œuvres d’importance, celles des Offices de Florence comme nous l’avons souligné, mais aussi d’autres comme La Dame à l’Hermine (qui pourtant avait été prêtée à Londres en 2011) ou La Madone à l’œillet de la Pinakothek de Munich ou encore les deux versions de La Madone aux fuseaux, toutes deux dans des collections privées. La Cène, elle intransportable – et pour cause – est tout de même présente par une copie très fidèle faite du vivant de Léonard de Vinci

par son élève Marco d’Oggiono entre 1506 et 1509. Pour très intelligente qu’est l’exposition, elle privilégie une approche de l’intérieur de l’œuvre du florentin en accrochant par exemple 17 réflectographies qui n’ont qu’un intérêt mineur pour le grand public et surtout près de 130 dessins dont la consultation n’apporte pas vraiment d’éclairage pour un public non averti. Pour les autres, elle reste offre un très bon décryptage de l’œuvre du peintre et de son cheminement tant technique qu’artistique même si l’exposition privilégie surtout cette dernière facette. Oui, Léonard de Vinci fut un extraordinaire peintre et dessinateur… mais pas que.
L’exposition se veut chronologique déroulant les grands moments de sa vie et de son parcours du peintre, de sa naissance à son exil en France et à l’intérieur de ces bornes nous dispense de thématiques qui ne sont pas des plus claires. Mais ne boudons pas pour autant notre plaisir, même si le nombre d’œuvres éclatantes est minime, il est aussi le reflet de la rareté de l’œuvre peint, pour le reste c’est une contribution à l’éclectisme de l’esprit de cet homme qui, depuis cinq siècles, est considéré comme l’un des plus grands génies de tous les temps.

Musée du Louvre. Hall Napoléon (1er)
À voir jusqu’au 24 février 2020
Tous les jours de 9h à 18h excepté le mardi. (fermeture des salles à partir de 17h30). Nocturne jusqu’à 21h45 le mercredi et le vendredi. (fermeture des salles à partir de 21h30)
Accès :
En métro : lignes 1 et 7, station « Palais-Royal / Musée du Louvre »; ligne 14, station « Pyramides »
En bus : bus n° 21, 24, 27, 39, 48, 68, 69, 72, 81, 95
Site de l’exposition : www.louvre.fr/expositions

Catalogue :
Léonard de Vinci
Sous la direction de Vincent Delieuvin et Louis Frank
Coédition Hazan/Editions du musée du Louvre. 480 p. 35 €

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2021

Du 28 janvier au 11 avril 2021
L'Épopée napoléonienne en figurines
Musée de l'Armée, Paris (75)

À partir du 27 janvier 2021
Les divas du monde arabe, d'Oum Kathoum à Dalida
Institut du monde arabe, Paris (75)

Du 28 janvier au 28 juillet 2021
Peder Severin Krøyer
L'Heure bleue
Musée Marmottan, Paris (75)

Du 9 février au 18 juillet 2021
Picasso-Rodin
Musée national Picasso, Paris (75)

Du 10 février au 21 juin 2021
Magritte en plein soleil. La période "Renoir" 1940-1947
Musée de l'Orangerie, Paris (75)

Du 20 février au 23 mai 2021
Sur le motif. Peindre en plein air en Europe (1780-1870)
Fondation Custodia, Paris (75)

Du 2 mars au 27 juin 2021
Modernités suisses (1890-1914)
Musée d'Orsay, Paris (75)

Du 5 mars au 12 septembre 2021
Le Paris de Dufy
Musée de Montmartre, Paris (75)

Du 31 mars au 19 septembre 2021
Napoléon n’est plus
Musée de l’Armée, Paris (75)

Du 8 avril au 29 août 2021
Chagall, Modigliani, Soutine...
Paris pour école, 1905-1940
Musée d’art et d’histoire du Judaïsme, Paris (75)

Du 13 avril au 1er août 2021
Décorations impressionnistes
Musée d'Orsay, Paris (75)

Du 15 avril au 7 juin 2021
En transit : photographies de Paul Ickovic
BnF I François-Mitterrand, Paris (75)

Du 15 avril au 22 août 2021
Henri Cartier- Bresson. Le Grand Jeu
BnF I François-Mitterrand, Paris (75)

Du 5 mai au 23 août 2021
Elles font l’abstraction
Une autre histoire de l’abstraction au 20e siècle
Centre Pompidou, Paris (75)

Du 6 mai au 24 octobre 2021
Paul Durand-Ruel et le post-impressionnisme
Propriété Caillebotte, Yerres (91)

Du 7 mai 2021 au 30 janvier 2022
Napoléon ? Encore !
Regards d'artistes contemporains
Musée de l'Armée, Paris (75)

Du 11 mai au 29 août 2021
Michael Schmidt
Une autre photographie allemande
Jeu de Paume, Paris (75)

Du 9 juin au 23 août 2021
Sayed Haider Raza
Centre Pompidou, Paris (75)

Du 23 juin au 13 sptembre 2021
Gaston Paris, reporter
La photographie en spectacle
Centre Pompidou, Paris (75)

Du 29 juin au 22 août 2021
Jean Cortot
BnF I François-Mitterrand, Paris (75)

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