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13 MIN READ

SIGNAC COLLECTIONNEUR

De Paul Signac, on connaît ses merveilleuses compositions néo-impressionnistes colorées faites avec ses amis du mouvement que furent les Seurat et autre van Rysselberghe. On connaît aussi ses aquarelles de ports peintes d’un pinceau léger depuis son bateau, mais on ignorait qu’il fut aussi un grand collectionneur de l’art de son temps, avec une collection estimée à 400 œuvres ! C’est cette facette méconnue du peintre que nous dévoile le Musée d’Orsay avec cette sélection de plus de 140 œuvres qui couvre les périodes de l’Impressionnisme au Fauvisme.

Exposition Signac Collectionneur au Musée d’Orsay jusqu’au 13 février 2022
Posté le 7 janvier 2022

Théo van Rysselberghe (1862-1926), En mer, portrait de Paul Signac. 1896 © Archives Signac / akg-images / Erich Lessing

Vincent Van Gogh (1853-1890). Deux harengs. 1889 © Coll. Part. / musée d'Orsay / Patrice Schmidt

Georges Seurat (1859-1891). La Seine à Courbevoie. 1885 © Coll. Part. / musée d'Orsay / Patrice Schmidt

Maximilien Luce (1858-1941). L’Échafaudage, dit aussi Le Drapeau rouge. 1910 © Roubaix, La Piscine - Musée d’art et d’industrie / Ph. : Alain Leprince - La Piscine, Roubaix

Henri-Edmond Cross (1856-1910). La Plage de Saint-Clair. 1901 © Coll. Part. / musée d'Orsay / Patrice Schmidt

Maximilien Luce (1858-1941). Portrait de Paul Signac. 1889 © Coll. Part. / musée d'Orsay / Patrice Schmidt

Charles Camoin (1879-1965). La rue Bouterie. 1904 © Coll. Part.

Les collectionneurs d’art ont toujours été une caste à part, regardée, auscultée, enviée aussi et souvent, pour le grand public, des personnes capables de dépenser des fortunes pour acquérir une œuvre et ce, sans motif réel pour beaucoup. Il n’existe pas qu’une sorte de collectionneur et si leur amour de l’art les fédère, il n’en est pas toujours de même. Les grandes collections (des Henry Havemeyer à François Pinault en passant par les Rothschild, Niarchos, Broad, Pierre Bergé et YSL…) se sont souvent faites à coups de millions et d’enchères faramineuses par amour de l’art souvent, par spéculation quelques fois aussi. Il y a les mécènes – tel Caillebotte autrefois qui, aisé, achetait des œuvres de ses amis impressionnistes avant de prendre lui-même le pinceau ou un François Pinault de nos jours – amoureux de l’art et qui aident les artistes à développer ou poursuivre leur tâche. Et parmi tous ceux-ci bon nombre d’entre eux ont acheté l’art « en train de se faire » et se sont constitués des collections qui, le temps passant, leur donna raison.
Et enfin, les peintres eux-mêmes qui, par achat mais plus souvent par échange et cadeaux se constituaient de belles collections. Picasso en est l’exemple type. Signac aussi. « Pour ces artistes collectionneurs, le rapport à la possession est-il plus complexe, le désir plus insatiable, le vertige plus intense du fait de leur identité de créateur ? Libres dans leur choix, possédant l’avantage de l’œil, sans préjugés de goût et insensibles aux modes, ils perçoivent, contemplent et analysent l’art des autres avec une acuité particulière » explique Anne Robbins dans le catalogue (Ed. Gallimard). Une description qui semble aller à la perfection à Signac

Né en 1863, Paul Signac est donc de la génération qui suit tout juste celle des Impressionnistes. Il a 10 ans lorsque le mouvement se constitue (en 1874, a lieu première exposition du groupe dans l’atelier de Nadar) et est ébloui par sa découverte du travail de Monet en 1880 dans les locaux de la revue d’art La Vie moderne. Ce qui le décide, suite à cette visite, de devenir peintre ! Totalement autodidacte, il apprend le métier en regardant les œuvres des Impressionnistes qu’il admire. Issue d’une famille aisée – son père possède des boutiques de luxe – son admiration ne se limite pas à seulement regarder, mais à acheter aussi des œuvres à ces peintres qui peinent encore à se faire reconnaître et accepter. Mais heureusement défendu par la plume d’Émile Zola et le soutien du marchand Durand-Ruel, le groupe obtiendra peu à peu son droit de cité au travers de leurs expositions, huit au total, avant sa dispersion au milieu des années 1890. Mais qu’importe, ils sont désormais reconnus, entrés dans les plus grands musées tant européens qu’américains.

Un Cézanne pour commencer !

Sa collection, « commencée très jeune avec des ressources confortables, et poursuivie jusqu’à sa mort avec les moyens du bord », débute par l’acquisition, alors qu’il est encore lycéen (chez le Père Tanguy, l’un des tous premiers marchands de ces peintres) d’un Cézanne La Plaine de Saint-Ouen-l’Aumône vue

Georges Seurat (1859-1891). Le Cirque. 1891 © Musée d’Orsay, Dist. RMN-Grand Palais / Patrice Schmidt

prise des carrières du Chou datée 1884. Et parallèlement à son emballement pour l’art de son temps et de sa rencontre avec Van Gogh – dont il est le premier à apercevoir le génie – il décide de devenir peintre ! À 16 ans, il perd son père, interrompt ses études et devient un rapin autodidacte admirant surtout Sisley, Guillaumin et Monet… Les pionniers de 1874.
Son art évolue vite après sa rencontre avec Seurat et cette nouvelle peinture « pointilliste » faite en suivant les préceptes du Professeur Chevreul sur le contraste des couleurs. Il devient en 1886 l’un des chantres du mouvement des néo-impressionnistes qui comptait dans ses rangs, en plus de Seurat, Henri-Edmond Cross et Théo Van Rysselberghe entre autres.
D’entrée, il va surtout acquérir, en plus de celles de quelques impressionnistes, des œuvres de ses compagnons néo-impressionnistes, Seurat, Pissarro, Luce ou Cross en particulier. Attentif, il suit aussi l’art de son temps et acquiert des œuvres des peintres du groupe des Nabis que sont les Bonnard, Vuillard, Roussel, Denis et Vallotton. Et toujours à l’affût des mouvements qui éclosent dans cette période de révolution qu’est le tournant du siècle, il fait une excursion chez les fauves s’intéressant à Van Dongen, Matisse, Marquet, Camoin et Valtat ! Mais n’adhèrera pas au mouvement cubiste qu’il choisit toutefois de montrer dans les années 10 au Salon des Indépendants dont il est devenu le président en 1908.

Kees van Dongen (1877-1968). Modjesko, chanteuse soprano. 1908 © Digital image, The Museum of Modern Art, New York/Scala, Florence / ADAGP, Paris, 2021

Malgré une vie familiale et financière chaotique, il a presque toujours réussi à acheter selon ses envies et ses goûts, il serait tout de même contraint de vendre, en 1919, son cher bateau Le Sinbad, celui de ses escapades marines « d’aquarelliste-trotteur », afin de subvenir à ses dépenses.
Sa collectionnite aigüe lui fit se constituer une collection forte de 400 œuvres, aujourd’hui, on s’en doute, dispersée. Ce fut une gageure pour le musée d’en rassembler plus de 140 pour cette exposition qui lève le voile, non seulement sur cette collection hors pair, mais dévoile aussi le fonctionnement d’un collectionneur qui, par achat, échange, cadeau gère la cohésion de son ensemble. « Portant un regard lucide sur l’art de son époque, il n’acquiert que des œuvres d’artistes qu’il estime personnellement, se séparant des œuvres de ceux dont il refuse l’idéologie, tel ce pastel de Degas dont il se défait lors de l’affaire Dreyfus » explique Laurence des Cars, nouvelle présidente du Louvre qui présidait avant aux destinées du Musée d’Orsay.

Une succession difficile

Séparé de sa femme, après 30 ans de mariage, au profit de sa maîtresse, il se voit dans l’obligation de partager sa collection, mais reste toutefois proche de son épouse, et garde un œil sur cette partie de sa collection ! Il la conseille dans ce qu’elle doit ou est obligée de vendre ou non… à coup de considérations sur le marché de l’art. Par culpabilité et comme « lot de

consolation » sûrement, cet homme responsable, assure tout le train de vie de son épouse délaissée, pas une décision n’est prise sans son accord, mais les temps sont de plus en plus difficiles. La guerre puis la crise de 1930, les valeurs qui s’effondrent et sa production ainsi que les ventes de ses œuvres qui ralentissent, ne l’empêchent pourtant nullement de continuer sa collection à coups de sacrifices. Cette collection dont il a un constant souci de son devenir après sa disparition.
Il se doit d’assurer l’avenir de sa fille Ginette, née en 1913, de sa liaison avec Jeanne Selmersheim-Desgrange, sa maîtresse depuis 1909. Mais la loi ne prend guère en compte les « enfants adultérins » et Signac n’est pas divorcé de sa femme Berthe épousée en 1892. Il trouvera une astuce : faire adopter par son couple, c’est-à-dire par son épouse, cette petite fille dont l’acte de naissance stipule qu’elle est née de… père inconnu ! Y avait-il pensé très tôt ? On pourrait le penser tant il inclut la petite dans ce chassé-croisé entre les deux femmes, comme si la fillette avait eu deux mères dès ses premiers mois. Il mettra de nombreuses années à obtenir le consentement de Berthe et ce grâce à l’action de Félix Fénéon, ami du couple, journaliste anar qui, le premier, définit le mouvement qu’il baptisa de néo-impressionnisme et en fit reconnaître ses artistes.
L’acte sera enfin signé en avril 1927 et ce malgré l’antagonisme que l’on devine entre les deux femmes. Ginette a alors 14 ans et devient l’héritière directe des deux parties de la collection, non seulement des œuvres conservées par son père mais aussi ceux de sa « mère »

d’adoption. Pour la petite histoire, Ginette épousera en 1934, un an avant la disparition de son père, le fils de Marcel Cachin, le fondateur du Parti communiste français. Ginette gèrera de main de maître la collection laissée par son père. Fera des prêts pour des expositions ou des dons à des musées (à celui de l’Annonciade de Saint-Tropez mais aussi au Musée de la Marine et au Louvre) et s’activera à faire reconnaître le groupe des néo-impressionnistes. Du couple Cachin naîtra une fille Françoise, qui mettra un terme au conflit des « deux veuves » du peintre devant la frimousse de celle qui deviendra, de 1986 à 1994, la première présidente du Musée d’Orsay. La boucle était bouclée.

De l’Impressionnisme au Fauvisme

L’exposition s’ouvre par 7 œuvres qui sont un rappel du Signac artiste dont Saint-Tropez. La Bouée rouge (1895) (qui ne faisait pas partie de sa collection) reste l’une des icônes puis se

Henri-Edmond Cross (1856-1910). Composition, dit aussi L’Air du soir. 1893-1894  © Musée d’Orsay, Dist. RMN-Grand Palais / Hervé Lewandowski

déroule de salle en salle. Par ses maîtres d’abord avec Eugène Boudin, celui qui mit le pied à l’étrier du jeune Claude Monet, puis défilent des œuvres de Paul Cézanne, Edgar Degas, Claude Monet, Édouard Manet, Camille Pissarro et Auguste Renoir entre autres, tous les grands impressionnistes. On passe ensuite aux membres du groupe des néo-impressionnistes avec Georges Seurat en tête, celui qui, le mieux, mis en application les préceptes du mouvement pointilliste. Il est représenté ici avec pas moins de 40 œuvres – dont bon nombre de ses merveilleux dessins. Côté toiles, Le Cirque (1891) et deux études pour son chef d’œuvre Un dimanche après-midi à l’île de la Grande Jatte (1884).
Suivent de son groupe des œuvres de Charles Angrand, encore peu connu du grand public mais pilier important du mouvement tout comme Louis Hayet, Henri-Edmond Cross avec 14 œuvres dont L’Air du soir (1893-1894) et quelques vues marines. Représenté ici avec une dizaine d’œuvres, Maximilien Luce, peintre anar – duquel Signac partageait les idées dès 1888 – et qui fut fortement marqué par la Commune (il sera arrêté en 1894 pour anarchisme), sera le peintre de la condition ouvrière comme le montre ici L’Échafaudage, une étude pour l’affiche La Bataille syndicaliste, (1910), L’Homme à sa toilette, (1887) magnifique évocation du prolétaire, de l’ouvrier. Luce a laissé aussi un très beau Portrait de Signac (1889).
De Matisse, et avant qu’il devienne « fauve », son chef d’œuvre pointilliste Luxe, calme et volupté (1904) peint durant l’hiver 1904-1905 à Saint Tropez, dans la villa prêtée par Signac. De Van Rysselberghe, en plus d’un portrait de Signac à la barre de son voilier, on verra ici un autre portrait, celui du poète Verhaeren, dédicacé à Signac. Une dernière section « Divers » présente d’autres achats du peintre dans laquelle on trouve les « fauves » Camion, Valtat, Marquet et deux magnifique Van Dongen :  Nu à la jarretière (1907) et surtout Modjesko, Soprano (1908), ce dernier prêté par le MoMA de New York, aux couleurs vitaminées, très représentatif de ce mouvement qui fit la jonction entre deux siècles. Suivent enfin cet étrange Affaire de Camden Town (1909) de Walter Sickert acheté sur les conseils de Fénéon et le seul van Gogh de la collection :  Deux harengs (1889), cadeau de l’hollandais en 1889, à celui qui, le premier pressentit son talent. De nombreux dessins, études et gravures complètent cette présentation qui donne de Signac un autre portrait. Celui d’un homme à l’écoute et amoureux de l’art de son temps.

Signac collectionneur
Musée d’Orsay. Esplanade Valéry Giscard d’Estaing (7e)
À voir jusqu’au 22 septembre
Tous les jours sauf le lundi de 9h30 à 18h. Dernier accès 17h
Nocturne le jeudi jusqu’à 21h45.
Accès :
Métro : ligne 12, station Solférino
RER : ligne C, station Musée d’Orsay
Bus : 63, 68, 69, 73, 83, 84, 87, 94 Dernier accès 17h

Site de l’exposition : ici
Catalogue
Coédition : Musées d’Orsay et de l’Orangerie / Gallimard
272 p. 300 ill. 42 €

Autre publication
Paul Signac, journal 1894-1909
Édition de Charlotte Hellman
Éditions Gallimard. Coll. Art et artistes. 624 p. 26 €

Les pages art
d’alexandre grenier

Après plusieurs décennies à Pariscope, retrouvez ici mes chroniques, critiques, agenda, commentaires et autres nouvelles du monde de l’art.

agenda 2021

Du 19 mai 2021 au 13 février 2022
Napoléon ? Encore !
Musée de l’Armée, Paris (75)

Du 22 septembre 2021 au 3 avril 2022
La Collection Morozov.
Icônes de l’art moderne
Fondation Louis Vuitton, Paris (75)

Du 29 septembre 2021 au 27 février 2022
L’Âme primitive
Musée Zadkine, Paris (75)

Du 30 septembre 2021 au 7 février 2022
Paris-Athènes
Naissance de la Grèce moderne
Musée du Louvre, Paris (75)

Du 2 octobre 2021 au 26 juin 2022
Une histoire de la mode.
Collectionner, exposer au Palais Galliera
Palais Galliera, Paris (75)

Du 6 octobre 2021 au 7 février 2022
Alsace, rêver la province perdue
Musée national Jean-Jacques Henner, Paris (75)

Du 12 octobre 2021 au 13 février 2022
Les animaux du roi
Château de Versailles (78)

Du 12 octobre 2021 au 13 février 2022
Signac collectionneur
Musée d’Orsay, Paris (75)

Du 13 octobre 2021 au 14 février 2022
David Hockney
A Year in Normandie
Musée de l’Orangerie, Paris (75)

Du 13 octobre 2021 au 30 mai 2022
Aux frontières de l’humain
Musée de l’Homme, Paris (75)

Du 13 octobre 2021 au 14 février 2022
Émailler le verre à la Renaissance
Musée national de la Renaissance, Château d’Écouen (95)

Du 15 octobre 2021 au 6 février 2022
Les Flammes. L’Âge de la céramique
Musée d’Art moderne de Paris, Paris (75)

Du 20 octobre 2021 au 7 mars 2022
Baselitz, la rétrospective
Centre Pompidou, Paris (75)

Du 3 novembre 2021 au 13 février 2022
Baudelaire, la modernité mélancolique
BNF site Mitterrand, Paris (75)

Du 4 novembre 2021 au 14 février 2022
Picasso l’étranger
Musée national de l’histoire de l’immigration, Paris (75)

Du 5 novembre 2021 au 6 mars 2022
Peindre hors du monde
Moines et lettrés des dynasties Ming et Qing
Musée Cernushi, Paris (75)

Du 9 novembre 2021 au 5 février 2023
Picasso à l’image
Musée national Picasso, Paris (75)

Du 10 novembre 2021 au 13 mars 2022
Samuel Fosso
Maison Européenne de la Photographie, Paris (75)

Du 13 novembre 2021 au 6 mars 2022
Roger Fenton photographe : la guerre de Crimée
Château de Chantilly, Chantilly (60)

Du 18 novembre 2021 au 6 mars 2022
Le Chef-d’œuvre inconnu
Entre génie et folie
Musée de Balzac, Paris (75)

Du 20 novembre 2021 au 15 mars 2022
Ernest Pignon-Ernest
Papiers de murs
Atelier Grognard, Rueil-Malmaison (78)

Du 24 novembre 2021 au 13 mars 2022
Juifs d’orient, une histoire plurimillénaire
Institut du Monde arabe, Paris (75)

Du 26 novembre 2021 au 8 mai 2022
Diplomates face à la Shoah
Mémorial de la Shoah, Paris (75)

Du 26 novembre 2021 à 19 mars 2022
Miquel Barceló, Franz Kafka, La Métamorphose.
Galerie Gallimard, Paris (75)

Du 3 décembre 2021 au 3 avril 2022
Sur le motif. Peindre en plein air en Europe (1780-1870)
Fondation Custodia, Paris (75)

Du 2 décembre 2021 au 6 mars 2022
Patrick Zachmann. Voyages de mémoire
Musée d’Art et d’Histoire du Judaïsme, Paris (75)

Du 8 décembre 2021 au 14 mars 2022
Une installation photographique inédite d’Araki, For Robert Frank
Bourse du Commerce, Paris (75)

Du 9 décembre 2021 au 27 mars 2022
Joseph Beuys
Ligne à ligne. Feuille à feuille
Musée d’Art moderne de Paris, Paris (75)

Du 10 décembre 2021 au 28 mars 2022
Vitesse
Musée national de la Voiture du château de Compiègne (60)

Du 14 décembre 2021 au 10 avril 2022
La Part de l’ombre
Sculptures du sud-ouest congolais
Musée du quai Branly–Jacques Chirac, Paris (75)

Du 15 décembre 2021 au 18 avril 2022
La Guerre des moutons.
Le mérinos à la conquête du monde. 1786-2021
Archives nationales, Paris (75)

Du 16 décembre 2021 au 10 avril 2022
Marcel Proust, un roman parisien
Musée Carnavalet, Paris (75)

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agenda 2022

Du 8 janvier 2022 au 5 mars 2022
Anthony Caro
Galerie Templon, Paris (75)

Du 13 janvier 2022 au 12 mars 2022
Etel Adnan
Richard Serra
Alison Saar
Wang Yan Cheng
Galerie Lelong, Paris (75)

Du 13 janvier 2022 au 19 mars 2022
Les artistes du G.R.A.V.
Galerie Denise René, Paris (75)

Du 15 janvier 2022 au 26 février 2022
Michel Journiac. Les mains
GalerieChristophe Gaillard, Paris (75)

Du 20 janvier 2022 au 23 avrils 2022
Gaston Paris, l’œil fantastique
Galerie Roger-Viollet, Paris (75)

Du 21 janvier 2022 au 13 mars 2022
Pamela Tulizo
Face to Face
Maison Européenne de la Photographie, Paris (75)

Du 22 janvier au 31 décembre 2022
HEY ! Le dessin
La Halle Saint Pierre, Paris (75)

Du 22 janvier au 3 mai 2022
Les manuscrits de Taqdemt
Château de Chantilly, Chantilly (60)

Du 28 janvier au 30 avril 2022
Soham Gupta, Angst
Maison de la Photographie Robert Doisneau, Gentilly (94)

Du 29 janvier au 15 mai 2022
Yves Saint Laurent aux musées
Musée d’Orsay, Paris (75)
Centre Pompidou, Paris (75)
Musée du Louvre, Paris (75)
Musée d’Art moderne de Paris, Paris (75)
Musée Picasso, Paris (75)
Musée Yves Saint Laurent, Paris (75)

Du 3 février au 5 mars 2022
Jean-Pierre Schneider
Galerie Berthet-Aittouares, Paris (75)

Du 5 février au 5 juin 2022
Chefs-d’œuvre retrouvés
Château de Versailles (78)

Du 8 février au 17 juillet 2022
Raymond Depardon. Son œil dans la main
Algérie 1961-2019
Institut du Monde arabe, Paris (75)

Du 8 février au 15 mai 2022
Wampum.
Perles de diplomatie en Nouvelle-France
Musée du quai Branly – Jacques Chirac, Paris (75)

Du 10 février 2022 au 26 mars 2022
Sauve qui peut ! (Run for Your Life)
R. Crumb, Aline Kominsky-Crumb, Sophie Crumb
Galerie David Zwirner, Paris (75)

Du 16 février au 26 juin 2022
Le(s) Paris de Boilly
Maison Cognacq-Jay, Paris (75)

À partir du 16 février 2022
Exposition monographique Charles Ray
Bourse du Commerce, Paris (75)

Du 17 février au 5 juin 2022
Le regard
Maison de Victor Hugo, Paris (75)

Du 2 mars au 10 juillet 2022
Pionnières, artistes femmes d’un nouveau genre dans le Paris des années folles.
Palais Galliera, Paris (75)

Du 2 mars au 11 juillet 2022
Aux sources des Nymphéas
Le décor impressionniste
Musée de l’Orangerie, Paris (75)

Du 2 mars au 2 août 2022
Ange Leccia
Musée de l’Orangerie, Paris (75)

Du 5 mars au 10 juillet 2022
Love Brings Love, le défilé hommage à Alber Elbaz
Palais Galliera, Paris (75)

Du 5 mars au 29 mai 2022
Dessins orientalistes du musée Condé
Château de Chantilly, Chantilly (60)

Du 8 mars au 31 décembre 2022
8 femmes photographes de guerre
Musée Jean Moulin, Paris (75)

Du 8 mars au 10 juillet 2022
Albert Edelfelt, le pionnier de la peinture finlandaise
Petit Palais, Paris (75)

Du 8 mars au 13 juillet 2022
Jean Dubuffet.
Le Preneur d’empreintes
Fondation Dubuffet, Paris (75)

Du 8 mars au 19 juin 2022
Mathieu Pernot – La ruine de sa demeure
Fondation HCB, Paris (75)

Du 9 mars au 27 juin 2022
Les papiers de Henner
Musée national Jean-Jacques Henner, Paris (75)

Du 10 mars au 11 septembre 2022
Charles Camoin (1879-1965) un fauve en liberté
Musée de Montmartre, Paris (75)

Du 11 mars au 25 juillet 2022
Gallen-Kallela
Mythes et nature
Musée Jacquemart-André, Paris (75)

Du 12 mars au 30 avril 2022
Jean Dubuffet
Jeanne Bucher Jaeger, Paris (75)

Du 15 mars au 12 juin 2022
Sophie Calle
Les fantômes d’Orsay
Musée d’Orsay, Paris (75)

Du 17 mars au 7 mai 2022
Arnulf Rainer
Antoni Tàpies
Marc Desgrandchamps
Galerie Lelong & Co, Paris (75)

Du 19 mars au 7 mai 2022
Youssef Nabil, Memory of a Happy Place
Galerie Nathalie Obadia, Paris (75)

Du 24 mars au 14 mai 2022
Valérie Belin, Modern Royals
Galerie Nathalie Obadia, Paris (75)

Du 25 mars au 24 juillet 2022
Anita Molinero. Extrudia
Toyen. L’Écart absolu
Musée d’Art moderne de Paris, Paris (75)

Du 26 mars au 15 août 2022
Tranchées
Muséede la Grande Guerre, Meaux (77)

Du 29 mars au 24 juillet 2022
Giovanni Boldini, les plaisirs et les jours
Petit Palais, Paris (75)

Du 30 mars au 21 mai 2022
Les enfants de l’ère Meiji. À l’école de la modernité (1868-1912)
Maison de la culture du Japon, Paris (75)

Du 30 mars au 21 aout 2022
Love Songs Photographies de l’intime
Maison Européenne de la Photographie, Paris (75)

Du 5 avril au 17 juillet 2022
Juifs et musulmans en France. De 1830 à nos jours
Musée de l’histoire de l’immigration, Paris (75)

Du 5 au 10 avril 2022
24ème édition de PAD Paris
Jardin des Tuileries, Paris (75)

Du 5 avril au 28 mai 2022
Camille Henrot
Galerie Kamel Mennour, Paris (75)

Du 6 avril au 4 septembre 2022
Héroïnes romantiques
Musée de la Vie Romantique, Paris (75)

Du 8 avril 2022 au 4 juillet 2022
L’art de la fête à la cour des Valois
Château de Fontainebleau (77)

Du 12 avril 2022 au 17 juillet 2022
Gaudi
Musée d’Orsay, Paris (75)

Du 12 avril 2022 au 21 août 2022
Aristide Maillol (1861-1944).
La quête de l’harmonie
Musée d’Orsay, Paris (75)

Du 13 avril 2022 au 21 août 2022
Le Théâtre des émotions
Musée Marmottan Monet, Paris (75)

Du 14 avril au 4 septembre 2022
Buraglio à l’épreuve de Balzac
Musée de Balzac, Paris (75)

Du 14 avril au 28 août 2022
Marcel Proust. Du côté de la mère
Musée d’Art et d’histoire du Judaïsme, Paris (75)

Du 15 avril au 28 août 2022
Eugène Leroy
Musée d’Art moderne de Paris, Paris (75)

Du 15 avril au 4 septembre 2022
Saison , réclamer la terre
Palais de Tokyo, Paris (75)

Du 16 avril au 4 septembre 2022
Machu Picchu et les trésors du Pérou
Cité de l’architecture & du patrimoine, Paris (75)

Du 22 avril au 18 septembre 2022
Hans Reichel
Propriété Caillebotte, Yerres (91)

Du 4 mai au 29 août 2022
La Couleur en fugue
Gilliam, Parrino, Toroni, Grosse, Rooney
Fondation Louis Vuitton, Paris (75)

Du 12 au 15 mai 2022
Outsider Art Fair
Atelier Richelieu, Paris (75)

Du 12 mai au 25 septembre 2022
Monnaies & Merveilles
La Monnaie de Paris, Paris (75)

Du 4 mai au 29 août 2022
Simon Hantaï
L’Exposition du centenaire
Fondation Louis Vuitton, Paris (75)

Du 18 au 23 mai 2022
Salon du Dessin
Palais Brongniart, Paris (75)

Du 19 au 22 mai 2022
Paris Print Fair
Le Réfectoire du Couvent des Cordeliers, Paris (75)

Du 4 juin au 2 octobre 2022
Clouet, portraits des enfants royaux
Les pionniers du livre imprimé
Château de Chantilly (60)

Du 4 juin au 2 octobre 2022
Albrecht Dürer – Renaissance et gravure
Jeu de Paume, Paris (75)

Du 8 juin au 2 octobre 2022
Jean Painlevé, les pieds dans l’eau
Marien Hugonnier, le cinéma à l’estomac
Le Jeu de Paume, Paris (75)

Du 6 au 11 septembre 2022
Parcours des Mondes
Quartier Saint-Germain-des-Prés, Paris (75)

Du 7 septembre 2022 au 15 janvier 2023
Boris Mikhaïlov
Maison Européenne de la Photographie, Paris (75)

Du 20 septembre 2022 au 22 janvier 2023
Edvard Munch
« Un poème d’amour, de vie et de mort »
Musée d’Orsay, Paris (75)

Du 28 septembre 2022 au 16 janvier 2023
Sam Szafran
Musée de l’Orangerie, Paris (75)

Du 18 octobre 2022 au 15 janvier 2023
Rosa bonheur
Musée d’Orsay, Paris (75)

Du 9 au 13 novembre 2022
Fine Arts Paris & La Biennale
Carrousel du Louvre, Paris (75)

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