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15 MIN READ

SIMON HANTAÏ (1922 – 2008). L’EXPOSITION DU CENTENAIRE

En commémoration du centenaire de sa naissance, la Fondation Louis Vuitton offre ses espaces à une rétrospective du peintre Simon Hantaï. Encore trop peu connu du grand public, Hantaï est pourtant un artiste majeur de l’art du siècle dernier. Issu du surréalisme, il se tourna vers une manière qui le signe au mieux : le pliage et dépliage de grandes toiles qu’il manipulait, pliait, ligotait avant d’y appliquer de la couleur dont la résultante était des œuvres dans lesquelles la couleur disputait les surfaces aux plages laissées en blanc en un principe aléatoire ou maitrisé, fusionnant règle ou accident. L’exposition phare de l’année.

Exposition « Simon Hantaï (1922 – 2008). L’exposition du centenaire » à la Fondation Louis Vuitton, jusqu’au 29 août 2022.
Posté le 2 juillet 2022

Vue in-situ de l’exposition. Salle consacrée aux Tabulas © Toutes œuvres, collection particulière / Archives Simon Hantaï / ADAGP, Paris 2022 / Fondation Louis Vuitton / Ph.: D.R.

Comme chez la plupart des artistes, leur œuvre s’est construit et nourri sur des recherches, des avancées, voire s’est plié aux courants de leur temps. Chez Simon Hantaï (1922-2008) on pourrait difficilement croire, en voyant ses œuvres les plus connues, qu’il s’est construit sur les bases du surréalisme. Et pourtant, tout découle d’une rencontre, celle provoquée par ce jeune hongrois et le pape du surréalisme. Le genre d’anecdotes dont raffole le milieu de l’art. Le jour de ses trente ans, Simon Hantaï – par malice ou par timidité ? – dépose sur le paillasson d’André Breton un tableau (une peinture-collage incluant un squelette d’animal) avec, comme dédicace « Regarde dans mes yeux / je te cherche / Ne me chasse pas. SH ».
On s’en doute, cela ne pouvait que plaire et intriguer le chef de file des surréalistes qui, de suite, l’accroche à « son mur ». Le « mur » comme cette œuvre, qui n’en fait plus partie, sont dans les collections du Centre Pompidou. Cette œuvre fut préemptée par le Centre Pompidou lors de la vente Breton de 2003. Une rencontre d’importance puisque Breton lui offre sa première exposition à la mythique galerie de L’Étoile scellée qui vient d’ouvrir en 1953. Dès lors, le hongrois est inclus dans le groupe avalisé par un Breton qui déclare : « Une fois de plus, comme peut-être tous les dix ans, un grand départ ». Et quel départ ! La même année, James Johnson Sweeney, alors directeur du Guggenheim Museum de New York inclut une œuvre d’Hantaï dans son exposition consacrée aux « Younger European Painters » ! Mais rien alors ne laissait présager de la suite…

Mariale m.d.4, Paris,1962 © Collection Fondation Louis Vuitton, Paris / Archives Simon Hantaï / ADAGP, Paris 2022 / Primae / Louis Bourjac

MM 44 (Pré-Meun), Paris 1965 © Musée des Beaux-Arts de Lyon /  Archives Simon Hantaï / ADAGP, Paris 2022 / Ph.: D.R.

Comme beaucoup d’émigrés issus de l’est de l’Europe, la vie de Simon Hantaï va être ballotée par le vent de l’Histoire. Dans son cas, après ses démêlés avec l’occupant nazi, c’est l’alignement de la Hongrie avec le bloc soviétique qui va le pousser à l’exil. Né en décembre 1922 à Bia (aujourd’hui Biatorbàgy) dans une famille catholique rurale, il intègre dès 1932, des études techniques et révèle très vite un don pour le dessin en illustrant ses cahiers de sciences naturelles. Son père l’aurait vu ingénieur mais lui bifurque et tente le concours d’entrée de l’Académie des Beaux-arts de Budapest où il est reçu en 1941. Il s’investit dans ce nouveau monde, devient porte-parole des étudiants, assistant d’enseignement et prend une part active à toutes les manifestations de l’Académie.
En mai 1944, la Hongrie, qui avait intégré les forces de l’Axe, est envahie par les troupes allemandes et Hantaï, dans un discours en tant que président des étudiants de l’Académie des Beaux-arts, s’engage contre cette invasion. Arrêté, incarcéré, il parvient toutefois à s’échapper et à se cacher jusqu’à l’arrivée de l’Armée Rouge. En avril 1945, son pays libéré, il rejoint de nouveau l’Académie des Beaux-arts. Il y rencontre Zsuzsa Biro (née en 1925) qui devient sa femme en janvier 1947. Au début de l’année suivante, il obtient une bourse pour poursuivre ses études à Paris. L’entrée de la Hongrie dans le bloc soviétique le pousse le couple à émigrer. Le rideau de fer tombe. Ils partent. Les voilà à Rome d’abord où ils attendent un visa pour la France. Ils y font la rencontre d’autres artistes émigrés et quelques américains du G.I. Bill dont Norman Mailer. Ce dernier achète à Hantaï quelques œuvres, un pécule qui permet au couple d’arriver – en stop, en train, à pied – enfin à Paris en septembre 1948. Désormais apatrides, ils sont enregistrés comme « personnes déplacées ».

Une retraite de 15 ans…

Commence alors les emménagements et les déménagements de fortune. D’abord un petit hôtel sur l’île Saint-Louis, quelques mois en échange de garde d’enfants chez un cinéaste, puis des amis trouvent au couple une chambre à la Cité des Fleurs dans le XVIIIème arrondissement. Le couple survit grâce aux dessins que place Zsuzsa çà et là dans la presse. Une première exposition grâce à ses amis de la Cité des Fleurs sonne comme un début de reconnaissance. Très vite une galerie et ses collectionneurs s’intéressent à lui. La galerie Kléber l’expose presque chaque année de 1956 à 1962 avant d’intégrer en 1967 la mythique Galerie Jean Fournier.

Meun, Meun, 1968 © Collection particulière / Archives Simon Hantaï / ADAGP, Paris 2022 / Fondation Louis Vuitton / David Bordes

Étude, Meun,1969 © Fondation Louis Vuitton, Paris / Archives Simon Hantaï / ADAGP, Paris 2022 / Fondation Louis Vuitton / David Bordes

En 1966, le couple est naturalisé français et, tout en conservant un atelier à Paris dans le XIVème arrondissement, il investit à Meun (aujourd’hui rattaché à Achères-la-Forêt), un village en bordure de la forêt de Fontainebleau, un bâtiment du XVIIème siècle qu’il peut acquérir grâce à la vente par la galerie Jean Fournier d’une dizaine de ses œuvres. Il s’y installe avec ses quatre enfants (un cinquième naîtra en 1968). Ce sont des années fastes de reconnaissance internationale. Il expose ses différents « pliages » à Paris chez Fournier, au Musée des Arts déco, à la Fondation Maeght mais aussi en province, et à l’étranger, en Belgique, au Danemark, en Hongrie, au Japon et aux États-Unis. En 1982, il représente la France à la 40e Biennale de Venise. L’exposition en juin-juillet 1982 à la galerie Jean Fournier constitue son dernier acte public.
Il décide alors de quitter la galerie et se retire du monde, (ce qu’il avait déjà fait pendant 3 ans à partir de mai 1976), s’interrogeant sur sa place dans ce marché de l’art et son rôle dans cette société à l’argent triomphant. En janvier 1978, il expliquait ce geste à Dominique Bozo, alors directeur du Musée national d’Art moderne et qui avait présenté, deux ans plus tôt, une importante exposition rétrospective de son travail : « Tout me paraît dans la vie culturelle le fonctionnement de Beaubourg si décourageant, ignominieux même, pire qu’au moment de ma venue en France, mais cette fois-ci je ne vois pas d’où pourrait venir une air [sic] respirable. L’esprit de compromis, de non-courage, absence d’idées directives, sinon l’idée d’un marché aux puces généralisé et d’amusement. Cette fois tout le monde est DEDANS, et travaille pour le même rendement production d’une culture de racaille. Puisque tout [est] valable et ne tire pas à conséquence, tout est rien. […] Comment sortir de ce merdier ? ».
Il se retire de la vie publique jusqu’à 1995, refusant toute proposition d’exposition tant en galerie qu’en institution. Certaines auront pourtant lieu en dépit de sa volonté. Loin de la scène ne veut pas dire qu’il abandonne son travail et ses recherches. Il réalise une « œuvre au noir », vue seule de ses relations et amies. Une période qui sera documentée par la photographe Édouard Boubat. Dans son atelier, pendant ces années, il revendique une liberté complète.
Il plie, et déplie interminablement ses toiles, travaille par superpositions, par rapetissement, par recoupage, peint, déchire, ficelle, découpe, fait gicler la couleur, la superpose donnant des toiles immenses comme de petites dimensions et qu’il garde loin des observateurs et que consacre, ici, une salle dans un accrochage aussi confus que l’énergie brouillonne et inventive qui régnait de ce « dernier atelier ». Il détruira même bon nombre d’œuvres de différentes séries, en protestation de ce marché. Un « grand nettoyage entrepris, au début de 90, à la machette. Si libre des critères des institutions et du marché, libre aussi envers mon travail. Peut rester ou ne pas rester, sans critère prévus. » écrit-il.

Les pliages, le grand œuvre

L’œuvre d’Hantaï, va dès la fin des années 50, se décliner en séries bien définies, commence par ces Peintures à signes et ses Écritures, qui contiennent d’évidence des relents surréalistes comme le montre ce « Grand livre des petites peintures » présenté en ouverture de l’exposition dans lequel on peut se rendre compte de la définition du surréalisme par Hantaï. À contrario des principaux membres du mouvement, lui opte résolument pour une abstraction qui vient bousculer les préceptes couramment admis dans le groupe comme quoi la figuration « continue d’être le véhicule poétique par excellence » mais opte pour une vision plus intérieure qui heurte. Et, pour expliciter sa démarche, il co-signe, avec Jean Schuster, un essai (Une démolition au platane) qui naturellement ne plaît pas au pape Breton et l’éloigne du groupe. Il rompt avec le groupe en 1955 pour, aussi, des divergences sur la question de l’écriture automatique et sa découverte des drippings de Pollock. Ce dernier va fortement le marquer.

Tabula, [Paris], 1980 © Collection particulière / Archives Simon Hantaï / ADAGP, Paris 2022 / Fondation Louis Vuitton / David Bordes

Laissée, [Maisons-Alfort / Meun], 1981-1994 © Collection particulière / Archives Simon Hantaï / ADAGP, Paris 2022 / Fondation Louis Vuitton / David Bordes

Il étame alors cette période dite des Peintures gestuelles, qui contiennent ses derniers lambeaux surréalistes et sont autant à rechercher du côté d’un Pollock (Peinture, 1958, Les Larmes de St Ignace, 1958-1959) que chez Degottex (Peinture, Paris 1957 et Souvenirs de l’avenir, même date) avec ces signes tracés d’un geste qui, peu à peu, se débarrassent même du geste pour tendre vers une monochromie en un « exercice spirituel ». Période d’une année dite Scripturale qui mène à cette œuvre d’importance : L’Écriture rose pour laquelle il s’est contraint pendant une année à recopier chaque matin le texte quotidien d’un missel puis à appliquer dessus une couche nouvelle masquant en partie une œuvre plus ancienne « dont il efface la mémoire » (Écriture rose, 1958-1959). Les après-midis, eux, sont consacrés à une autre œuvre spirituelle (Galla Placidia) faite d’une infinie multitude de petits traits de différentes couleurs, offrant des nuances subtiles d’ombres et de lumières.
Les pliages, enfin arrivent, et sont ceux qui le signent au mieux. Cette manière, qui débute historiquement par la série des Mariales, au début des années 60, était pourtant en gestation une décennie plus tôt avec une petite peinture monochrome titrée « La Momie » qu’entourait un amas de linge plissé et suivi de ses premières peintures sur toiles pliées sans, qu’alors, il n’en mesure véritablement toute la potentialité artistique. Rétrospectivement, il reconnut plus tard : « Tout était déjà là, mais ni vu, ni pensé… ». De 1960 à 1982, il réalisera huit séries successives de pliages qui toutes feront l’objet d’expositions. Ces séries (Mariales, Catamurons, Lers Panses, Meuns et surtout Les Tabulas toutes ces séries sont présentées ici) sont nées d’expérimentations, de toiles pliées, ficelées, peintes, éclaboussées de peintures puis déployées et tendues de façon à laisser apparaître des zones de couleurs et d‘autres blanches et qui, acmé de ses recherches, aboutissent en 1972 aux Tabulas pour lesquels la toile est nouée à des intervalles réguliers, recouverte de peinture puis dénouée laissant apparaître une multitudes de petites carrés (ou rectangles) colorés dans lesquels – comme pour ses autres pliages – les espaces blancs participent de la perception de l’ensemble et « organise » la vision entre blancs et couleurs.

Destruction-reconstruction 

Après cette période de retrait de 15 ans, il revient peu à peu dans la lumière, fait une belle donation au Musée d’Art moderne de Paris et une ultime grande exposition de son vivant en 1999 au Westfäliches Landesmuseum für Kunst und Kulturgeschichte de Münster. Il entame une dernière série, les Laissées, une série de « destruction-reconstruction » de toiles anciennes, comme un derniers sursaut remettant en cause les années « d’avant ». Il utilise pour se faire de grandes Tabulas des années 80 qu’il découpe puis dont il recadre les fragments. Œuvres ultimes qui seront exposées au CAPC de Bordeaux et dans l’espace rue de Lille du producteur-cinéaste Claude Berri.
Il s’éteint à Paris le 12 septembre 2008 à l’âge de 85 ans. Depuis les expositions et les hommages se succèdent jusqu’à cette grande et magnifique exposition ici pour commémorer le centenaire de sa naissance et rassemblant environ 150 œuvres dont près de la moitié jamais exposée, prêtées par la famille, et pour la plupart de grands formats. Dans une œuvre aussi complexe dans la démarche, déroutante parfois et qui colle au plus près de la vie et de la pensée de cet artiste, l’un des plus importants du siècle dernier, le catalogue (imposant et du même format à l’italienne utilisé pour les expositions Chtchoukine et Morozov) est plus que jamais indispensable. Dirigé par Anne Baldassari – à qui l’on doit le premier ouvrage sur Hantaï (Éditions du Centre Pompidou, 1992), meilleure spécialiste du peintre et commissaire de l’exposition (assistée de Anne-Emmanuelle Laurent). En plus d’une biographie fouillée, l’ouvrage comporte un indispensable entretien avec Zsuzsa Hantaï, la veuve du peintre qui éclaire de l’intérieur les premières années du parcours d’Hantaï. Entretien suivi d’un autre avec Daniel Buren. Et naturellement une étude approfondie de l’œuvre période par période. De nombreuses photos – dont celles inédites de Boubat – et la reproduction de toutes les œuvres exposées complètent cette somme.
Quant à la scénographie, dans les grandes salles immaculées du paquebot de la fondation, elle met parfaitement en valeur les immenses œuvres présentées. Très didactique, l’exposition articule chronologiquement les grandes étapes de l’œuvre d’Hantaï. Elle est surtout axée sur les pliages qui sont accrochés par série et chacune introduite par une description qui permet de bien comprendre et d’approcher la progression de son travail et d’en comprendre le cheminement. D’évidence l’exposition phare de l’année.

Fondation Louis Vuitton 8, avenue du Mahatma Gandhi, Bois de Boulogne, Paris (16e).
À voir jusqu’au 29 août 2022
Ouvert les lundi, mercredi et jeudi de 11h à 20h, le vendredi de 11h à 21h, nocturne le 1er vendredi du mois jusqu’à 23h, et les samedi et dimanche de 9h à 21h. Fermeture le mardi
Site de l’exposition : ici

Les pages art
d’alexandre grenier

Après plusieurs décennies à Pariscope, retrouvez ici mes chroniques, critiques, agenda, commentaires et autres nouvelles du monde de l’art.

agenda 2022

Du 3 juin 2022 au 23 janvier 2023
Capturer l’âme.
Rosa Bonheur et l’art animalier
Château de Fontainebleau (77)

Du 17 juin 2022 au 17 février 2013
À la grâce de Dieu
Les églises et la Shoah
Mémorial de la Shoah, Paris (75)

Du 7 septembre 2022 au 15 janvier 2023
Boris Mikhaïlov
Maison Européenne de la Photographie, Paris (75)

Du 14 septembre 2022 au 15 janvier 2023
Miroir du Monde chefs-d’œuvre du cabinet de Dresde
Musée du Luxembourg, Paris (75)

Du 14 septembre 2022 au 15 janvier 2023
Joana Vasconcelos
Château de Vincennes (94)

Du 14 octobre au 19 février 2023
Fernande raconte : Picasso et ses amis
Musée de Montmartre, Paris (75)

Du 16 septembre 2022 au 23 janvier 2023
Johann Heinrich Füssli
Musée Jacquemart-André, Paris (75)

Du 20 septembre 2022 au 22 janvier 2023
Edvard Munch
« Un poème d’amour, de vie et de mort »
Musée d’Orsay, Paris (75)

Du 21 septembre 2022 au 23 janvier 2023
Face au soleil
Un astre dans les arts
Musée Marmottan-Monet, Paris (75)

Du 23 septembre 2022 au 12 février 2023
Oskar Kokoschka
Un fauve à Vienne
Musée d’Art moderne de Paris (75)

Du 26 septembre 2022 au 28 janvier 2023
Van Gogh à Auvers-sur-Oise, les derniers mois
Musée d’Orsay, Paris (75)

Du 27 septembre 2022 au 22 janvier 2023
Paris et nulle part ailleurs
Musée de l’histoire de l’immigration, Paris (75)

Du 27 septembre 2022 au 19 février 2023
Habibi, les révolutions de l’amour
Institut du monde arabe, Paris (75)

Du 28 septembre 2022 au 16 janvier 2023
Sam Szafran
Musée de l’Orangerie, Paris (75)

Du 28 septembre 2022 au 29 janvier 2023
Parisiennes, citoyennes ! (1789-2000)
Musée Carnavalet, Paris (75)

Du 4 octobre 2022 au 15 janvier 2023
Black Indians de La Nouvelle-Orléans
Musée du quai Branly – Jacques Chirac, Paris (75)

Du 5 octobre 2022 au 16 janvier 2023
Alice Neel
Centre Pompidou, Paris (75)

Du 5 octobre 2022 au 27 février 2023
Monet / Mitchell
Dialogue et rétrospective
Fondation Louis Vuitton, Paris (75)

Du 12 octobre 2022 au 16 janvier 2023
L’Asie des photographes
Musée Guimet, Paris (75)

Du 12 octobre 2022 au 23 janvier 2023
Les Choses. Une histoire de la nature morte
Musée du Louvre, Paris (75)

Du 13 octobre 2022 au 5 mars 2023
Les Tribulations d’Erwin Blumenfeld, 1930-1950
Musée d’Art et d’histoire du Judaïsme, Paris (75)

Du 13 octobre 2022 au 4 mars 2023
Geneviève Asse
Galerie Laurentin, Paris (75)

Du 14 octobre 2022 au 29 janvier 2023
Walter Sickert.
Peindre et transgresser
Musée du Petit Palais, Paris (75)

Du 15 octobre 2022 au 29 janvier 2023
Francisco Tropa. Le Poumon et le Cœur
Zoé Léonard. Al Rio / To the river
Musée d’Art moderne de Paris (75)

Du 15 octobre 2022 au 26 février 2023
Le duc d’Aumale et Chantilly
Photographies du XIXe siècle
Château de Chantilly (60)

Du 16 octobre 2022 au 5 février 2023
Impressions au fil de l’Oise
Dupré, Daubigny, Pissarro
Musée d’Art et d’Histoire Louis-Senlecq, L’Isle-Adam (95)

Du 18 octobre 2022 au 15 janvier 2023
Rosa bonheur
Musée d’Orsay, Paris (75)

Du 18 octobre 2022 au 5 mars 2023
Rêve d’Égypte
Musée Rodin, Paris (75)

Du 19 octobre 2022 au 23 janvier 2023
Photographies de Bae Bien-U
Musée Guimet, Paris (75)

Du 19 octobre 2022 au 6 février 2023
Le Blason des temps nouveaux
Musée de la Renaissance, Écouen (95)

Du 19 octobre 2022 au 20 février 2023
Madeleine
Musée Jean-Jacques Henner, Paris (75)

Du 20 octobre 2022 au 18 janvier 2023
Toulouse 1300-1400
L’éclat d’un gothique méridional
Musée de Cluny, Paris (75)

Du 21 octobre 2022 au 19 février 2023
L’encre en mouvement
La peinture chinoise au XXe siècle
Musée Cernushi, Paris (75)

Du 26 octobre 2022 au 6 février 2023
Afghanistan, ombres et légendes
Musée Guimet, Paris (75)

Du 7 novembre 2022 au 27 février 2023
Décadrage colonial
Centre Pompidou, Paris (75)

Du 8 novembre 2022 au 12 février 2023
Réconciliation Cartier-Bresson avec Martin Parr
Fondation Cartier-Bresson, Paris (75)

Du 9 novembre 2022 au 21 janvier 2023
Un bestiaire japonais
Vivre avec les animaux à Edo-Tokyo (XIIIe – XIXe siècle)
Maison de la Culture du Japon, Paris (75)

Du 10 novembre 2022 au 5 mars 2023
Louis Boulanger, peintre rêveur
Maison de Victor Hugo, Paris (75)

Du 11 novembre 2022 au 2 avril 2023
Ossip Zadkine
Une vie d’ateliers
Musée Zadkine, Paris (75)

Du 11 novembre 2022 au 15 janvier 2023
Antony Cairns PXL CTY
MEP, Paris (75)

Du 16 novembre 2022 au 22 mai 2023
Arts et préhistoire
Musée de l’Homme, Paris (75)

Du 16 novembre 2022 au 27 février 2023
Christian Marclay
Centre Pompidou, Paris (75)

Du 22 novembre 2022 au 8 mai 2023
Kimono
Musée du quai Branly – Jacques Chirac, Paris (75)

Du 23 novembre 2022 au 4 juin 2023
Sur les routes de Samarcande
Institut du Monde arabe, Paris (75)

Du 23 novembre 2022 au 6 mars 2023
Carte blanche à Wang Keping
Musée Guimet, Paris (75)

Du 24 novembre 2022 au 25 février 2023
Vincent Bioulès
Galerie La Forest Divonne, Paris (75)

Du 26 novembre 2022 au 5 mars 2023
Poussin et l’amour
Musée du Louvre, Paris (75)

Du 8 décembre 2022 au 30 avril 2023
Fabrice Hyber
La vallée
Fondation Cartier, Paris (75)

Du 13 décembre 2022 au 2 avril 2023
Pierre Moignard
Musée national Picasso, Paris (75)

2023

Du 12 janvier 2023 au 4 mars 2023
Günther Förg. Peintures sur Canson
Ernest Pignon-Ernest. De traces en empreintes
Galerie Lelong site Téhéran, Paris (75)

Du 12 janvier 2023 au 4 mars 2023
David Nash. Sculptures et papiers
Galerie Lelong site Matignon, Paris (75)

Du 25 janvier 2023 au 25 août 2023
La Fabuloserie
La Halle Saint Pierre, Paris (75)

Du 31 janvier 2023 au 2 juillet 2023
Faith Ringgold
Musée national Picasso, Paris (75)

Du 7 février au 12 novembre 2023
Senghor et les arts
Réinventer l’universel
Musée du quai Branly – Jacques Chirac, Paris (75)

Du 8 février au 11 septembre 2023
Avant l’orage
Bourse de Commerce – Pinault Collection, Paris (75)

Du 14 février au 28 mai 2023
Thomas Demand
Le bégaiement de l’histoire
Jeu de Paume, Paris (75)

Du 15 février au 15 mai 2023
Sayed Haider Raza
Centre Pompidou, Paris (75)

Du 15 février au 29 mai 2023
Hiroshige et l’éventail
Voyage dans le Japon du 19e siècle
Musée Guimet , Paris (75)

Du 25 février au 14 mai 2023
Créer. Dessiner pour les arts décoratifs
1500-1900
Cabinet de dessins néerlandais.
Le XVIIIe siècle
Fondation Custodia, Paris (75)

Du 1er mars au 12 juin 2023
Germaine Richier
Centre Pompidou, Paris (75)

Du 1er mars au 29 mai 2023
Matisse. Cahiers d’Art, le tournant des années 30
Musée de l’Orangerie, Paris (75)

Du 3 mars au 17 juillet 2023
Giovanni Bellini. Influences croisées
Musée Jacquemart-André, Paris (75)

Du 4 mars au 21 mai 2023
Visages des guerres de religion
Château de Chantilly, Chantilly (60)

Du 7 mars au 27 août 2023
Célébration Picasso
La collection prend des couleurs !
Musée Picasso, Paris (75)

Du 7 mars au 16 juillet 2023
1997 Fashion Big Bang
Palais Galliera, Paris (75)

Du 8 mars au 18 juin 202
Néo-Romantiques.
Un moment oublié de l’art moderne 1926-1972
Musée Marmottan Monet, Paris (75)

Du 14 mars au 2 juillet 2023
Pastels du musée d’Orsay
Musée d’Orsay, Paris (75)

Du 14 mars au 16 juillet 2023
Le caravagisme à Versailles :  tableaux de la chambre du roi
Château de Versailles (78)

Du 15 mars au 16 juillet 2023
Alliés dans le désert
Leclerc et les britanniques (1940-1943)
Musée de la Libération, Paris (75)

Du 15 mars au 16 juillet 2023
Philippe Cognée
La peinture d’après
Musée Bourdelle, Paris (75)

Du 15 mars au 16 juillet 2023
Philippe Cognée
Musée de l’Orangerie, Paris (75)

Du 15 mars au 16 juillet 2023
Léon Monet. Frère de l’artiste et collectionneur
Musée du Luxembourg, Paris (75)

Du 22 mars au 20 août 2023
Mucha au-delà de l’art nouveau
Grand Palais Immersif, Paris (75)

Du 23 au 26 mars 2023
Drawing Now Art Fair
Carreau du Temple, Paris (75)

Du 28 mars au 3 juillet 2023
Louis XVI, Marie-Antoinette et la Révolution
Archives nationales, Paris (75)

Du 28 mars au 23 juillet 2023
Manet / Degas
Musée d’Orsay, Paris (75)

Du 31 mars au 2 avril 2023
Art Paris Art Fair
Grand Palais Éphémère, Paris (75)

Du 31 mars au 10 septembre 2023
Échappées belles
Le surréalisme au féminin
Musée de Montmartre, Paris (75)

Du 31 mars au 16 juillet 2023
Anna-Eva Bergman
Musée d’Art moderne de Paris, Paris (75)

Du 4 avril au 2 juillet 2023
Ouvrir l’album du monde.
Photographies (1842-1911)
Musée du quai Branly – Jacques Chirac, Paris (75)

Du 4 avril au 2 juillet 2023
Songlines
Chant des pistes du désert australien
Musée du quai Branly – Jacques Chirac, Paris (75)

Du 5 avril au 28 août 2023
Basquiat x Warhol, à quatre mains
Fondation Louis Vuitton, Paris (75)

Du 7 avril au 6 septembre 2023
Ramsès et l’or des pharaons
Grande Halle de la Villette, Paris (75)

Du 11 avril au 27 août 2023
Sarah Bernhardt
Musée du Petit Palais, Paris (75)

Du 12 avril au 28 août 2023
Moses Vorobeichic / Moï Ver
Centre Pompidou, Paris (75)

Du 14 avril au 27 août 2023
Sarah Bernhardt
Et la femme créa la star
Petit Palais, Paris (75)

Du 18 avril au 16 juillet 2023
Claude Rutault. La porte de la peinture
Musée d’Orsay, Paris (75)

Du 20 avril au 27 août 2023
Pierre Dac. Du côté d’ailleurs
Musée d’art et d’histoire du Judaïsme, Paris (75)

Du 3 mai au 7 août 2023
Norman Foster
Centre Pompidou, Paris (75)

Du 3 juin au 1er octobre 2023
Regarder l’Histoire en face
L’Italie du XIXe siècle au musée Condé
Ingres, l’artiste et ses princes
Château de Chantilly, Chantilly (60)

Du 12 juin au 17 septembre 2023
Frank Horvat
Johan van der Keuken
Jeu de Paume, Paris (75)

Du 12 septembre 2023 au 7 janvier 2024
Louis Janmot. Le Poème de l’âme
Musée d’Orsay, Paris (75)

Du 13 septembre 2023 au 28 janvier 2024
Gertrude Stein et Picasso, l’invention d’un langage
Musée du Luxembourg, Paris (75)

Du 15 septembre 2023 au 21 janvier 2024
Nicolas de Staël
Musée d’Art moderne de Paris, Paris (75)

Du 20 septembre 2023 au 15 janvier 2024
Modigliani et son marchand Paul Guillaume
Musée de l’Orangerie, Paris (75)

Du 20 septembre 2023 au 18 février 2024
Street Art, de la rue aux écrans.
L’art urbain à l’ère numérique
Grand Palais Immersif, Paris (75)

Du 26 septembre 2023 au 28 janvier 2024
Noël Coypel, peintre de grands décors
Château de Versailles (78)

Du 3 octobre 2023 au 28 janvier 2024
Van Gogh à Auvers-sur-Oise. Les derniers mois
Musée d’Orsay, Paris (75)

Du 5 octobre 2023 au 11 février 2024
Dana Schutz
Musée d’Art moderne de Paris, Paris (75)

Du 10 octobre 2023 au 28 janvier 2024
Julia Margaret Cameron
Victor Burgin
Jeu de Paume, Paris (75)

Du 14 octobre 2023 au 6 janvier 2024
Regarder l’Histoire en face
Par-delà Rembrandt
Estampes du siècle d’or néerlandais
Château de Chantilly, Chantilly (60)

Du 14 novembre 2023 au 17 mars 2024
Horace Vernet
Château de Versailles (78)

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arty-scope | SIMON HANTAÏ (1922 – 2008). L’EXPOSITION DU CENTENAIRE